FREDDY’S – L’histoire des gens.

Le groupe punk rock, les Freddy’ s’impose avec leur textes engagés et leur musique à faire danser n’importe qui. Josh, Gaëtan, JB, suivis de près par leur manager Fred, sont devenus petit à petit le groupe du coin à voir absolument ! Leur dernier album « L’histoire des gens » est disponible sur toutes les plateformes !

Comment sont nés les Freddy’s ?

Josh : Cela concerne un peu moins JB, qui nous a rejoint il y a peu !!!

Gaëtan : Les Freddy’s ont commencé à deux : Josh et moi. On faisait des covers acoustiques, lui au carron et moi à la guitare.

JB : C’était des hippies quoi !

G. : Ouais c’est ça ! On tournait dans les bars, les restos, on jouait dans la rue ! A cette époque le groupe n’avait pas vraiment de nom. On avait trouvé le nom « Gajo », avec les deux premières lettres de nos deux prénoms mais bon…

J. : C’était pas un carton quoi ! Un de nos potes, Gus, jouait de la guitare. Un soir de nouvel an, un peu éméchés, on lui a dit de se mettre à la basse, pour pouvoir jouer avec nous. On a continué les concerts, avec nos reprises… et toujours sans nom.

G. : Vient le moment où on se dit : «là il faut vraiment se trouver un nom ». Fred, notre manager, n’est pas sur scène avec nous, mais c’est lui qui fait tout le reste ! On a voulu lui rendre hommage, et on est devenu les Freddy’s, avec « ‘s », à l’américaine quoi ! JB nous a rejoints à la place de Gus après notre passage à Néoules en 2017.

C’est un peu le passage du rêve à la réalité…

G. : Nous avons fait une « animation » musicale pour les bénévoles du Festival de Néoules. Et là… David, le programmateur, nous demande de jouer pour le prochain festival.

J. : On répond « Oui, bien sur ! »… Mais on n’avait pas de morceau !

G. : Alors on s’est bougé les fesses car le Festival de Néoules, pour nous, c’était plus qu’utopique.

Vous composez votre deuxième album. JB n’est pas avec vous. Comment alliez-vous le travail et les conditions du confinement ?

J. : On a toujours composé à deux. La basse de JB se greffe aux idées qu’on trouve. C’est Gaëtan qui a fait les parties de basse sur le premier album. Ça ne nous gène pas pour trouver les idées de base. On peaufinera quand on sera tous les trois.

Qu’est ce qui fait la particularité de ce nouvel album ?

G : On ne va pas spoiler les surprises non plus ! (rires)

J : Disons qu’on a atteint une nouvelle maturité musicale. L’album est encore en composition donc on ne sait pas encore tout. Mais c’est plus réfléchi. Pour le premier album, on avait une date butoir. Pour celui-ci, on a le temps de prendre de recul sur nos différents choix. Et encore plus avec le confinement.

Vous êtes donc fortement soutenus par les équipes du Festival de Néoules…

J. : C’est grâce à David que nous avons voulu donner une réelle identité au groupe. Il nous a tout de suite proposé de faire des dates, une réelle confiance s’est installée. On s’est pris d’affection pour l’équipe du Festival. Nous sommes aussi venus pendant cinq ans en tant que festivalier et connaissons la plupart des bénévoles.

G. : L’équipe a été un vrai soutien et un tremplin pour nous. Ils nous suivent sur les réseaux, partagent nos actualités. C’est une grande famille. On est super content de pouvoir faire l’ouverture des trente ans du festival.

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FREDDY’S – L’histoire de Jean